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Édifice du XVème siècle, Il fut la propriété de la famille du Plessis. Le plus célèbre d’entre eux, Armand-Jean, n’est autre que le Cardinal de Richelieu.
La structure générale du bâtiment, et notamment le toit à deux pans, le mur en gros appareil, avec ses ouvertures obturées et ses fenêtres à meneaux, qui longe la rue du Relandais, la tourelle polygonale qui abrite l’escalier à vis, dont l’entrée est surmontée d’un gable (écusson renversé), s’inscrivent dans la tradition du XVe ou du début du XVIe siècle. La façade ouverte sur le jardin, avec ses ouvertures régulières, sa porte-fenêtre encadrée de pilastre et ses lucarnes à frontons triangulaires, ou demi circulaires, porte, au contraire, la marque du XVIIe siècle. Elle semble résulter d’une reconstruction partielle, intervenue après 1684, date à laquelle, faute des « réparations nécessaires », la maison était devenue « présentement inhabitable.
Restauration n'ayant malheureusement pas conservé l'esprit des lieux
Belle ensemble avec dégagement
Une des plus belles halles de France datant de 1634, récemment rénovée dans les règles de l’art. Toiture, ferronnerie, tout a été fait dans les règles de l'art, comme le remplacement de 1.500 chevilles de la charpente en châtaignier
Situées aux cœur de la ville de Richelieu, exemple unique en France d’urbanisme du 17e siècle. Régularité et symétrie caractérisent cette « cité idéale », remarquablement conservée, aujourd’hui site classé avec sa Grande Rue, bordée de 28 hôtels particuliers, sa halle et son église du 17e siècle, ses remparts, son parc abritant les vestiges du château.
Toiture, ferronnerie, tout a été fait dans les règles de l'art,
comme le remplacement de 1.500 chevilles de la charpente en châtaignier.
clairières du parc de Richelieu, capable de répondre aux recours de plus en plus fréquents aux nouvelles technologies et notamment capable de permettre des « tournages à effets » sur larges panneaux et cyclos « bleus » ou « verts » (bluescreen & greenscreen) démontables, propices aux incrustations de décors virtuels en 3D.
C'est au XVII° que Jean Armand du Plessis fait bâtir à Richelieu un château, symbole grandiose de son prestige. Il fût le plus grand jamais bâti avant Versailles. Malheureusement, après son abandon durant la Révolution, le château est démoli en 1835. Il ne reste aujourd'hui que le magnifique parc, un dôme, l'orangerie et les chais.
Jardin suspendu avec très belle vue au coeur de la ville.
Beau jardin anglais suspendu offrant une magnifique vue panoramique. des cyprès et un potager agrémentent le paysage.
Le massif forestier de Chinon constitue l'un des massifs forestiers majeurs d'Indre-et-Loire.
Tourner en Forêt, c'est filmer en lumière naturelle, enregistrer des bandes-son originales, mettre en scène les acteurs dans des situations réalistes... et offrir à votre équipe de tournage quelques jours de pleine nature.
Surface : 52.77 km2 (surface approximative). Plusieurs zones classées NATURA 2000 dont les Landes du Ruchard
Lieu d'observation du cerf (avril à octobre), brâme du cerf (fin septembre) et observation de la Drosera (en mai).
Identifiant ONF : F09288F
Composée d'essences de résineux (essentiellement Pins maritimes et Pins sylvestres) et de feuillus, mardelles tourbeuses et landes. Le massif comprend deux grands ensembles forestiers, parcourus de pare-feux et abritant un réseau de mares et mardelles acidiphiles, voire tourbeuses. Ces deux milieux présentent une flore cidiphile des milieux humides : La forêt résineuse permet aussi à un couple de Circaète Jean-le-Blanc de nicher chaque année.
LES JARDINS D'INSPIRATION MÉDIÉVALE - LOUDUN
Ce jardin d'inspiration médiévale,présente un environnement dénué de pollution visuelle
Aménagé au pied de la Tour Carrée construite vers 1040, il est entouré par de nombreuses rues et ruelles préservées.
La Chapelle Jeanne d’Arc de Thouars est aujourd’hui un lieu de référence à l’échelle du grand ouest dans le domaine de l'art contemporain. Développant un projet culturel ambitieux, qui prend en compte et sa situation géographique et son enveloppe architecturale, le centre d'art présenté dans une chapelle néo-gothique, s’emploie à créer une rencontre chaque fois renouvelée et enrichie entre un public large et ouvert, les artistes et la création plastique actuelle.
D'époque néo-gothique, la chapelle Jeanne d'Arc est par ailleurs le dernier vestige architectural d'une institution religieuse installée sur cet îlot du XIXè siècle jusqu'à la fin des années 1970 où il fut racheté et protégé par la municipalité.
Chapelle néo-gothique devenu un lieu d'exposition d'art contemporain.
Un des rares exemples d’architecture religieuse de la Renaissance tourangelle.
Située sur un éperon rocheux, rare architecture religieuse de la Renaissance tourangelle. Facade à peu prés intacte avec sa porte, ses niches à colonnettes, ses pinacles et ses médaillons représentant des seigneurs du lieu
Deux gites sur le terrain, avec piscine donnant sur l'abbaye
L'Abbaye Royale de Fontevraud est l'une des plus vastes cités monastiques héritées du Moyen Âge.
Voûtes de style gothique angevin dit "Planta-genêt", Clés de voûtes
Porte monumentale
Situé au confluent de la Loire et de la Vienne, dans un village avec ses maisons médiévales au bord de l'eau et sa collégiale fortifiée construites entre les XIIe et XVe siècles. Du sommet de la colline du village, une vue panoramique sur les paysages environnants et plus particulièrement sur le confluent.
Ancien port de pêche et de batellerie né de la confluence entre la Vienne et la Loire, Candes-Saint-Martin joue le contraste avec ses toits d’ardoise et ses murs de tuffeau blanc dont sont parées les maisons et la collégiale Saint-Martin
Perché sur un rocher escarpé et enserré par un méandre du Thouet, le château surplombe la ville de Thouars. Après avoir fait rasé la puissante forteresse médiévale, Marie de la Tour d'Auvergne, épouse d'Henri de Trémoille, fait construire cet imposant château dont la façade mesure plus de 110m de long. Pillé à la Révolution, il est déclaré bien national puis vendu à la ville en 1833. Transformé en caserne puis en collège et enfin en prison au XIX° siècle, il accueille aujourd'hui le collège de la Tour d'Auvergne.
Il reste encore aujourd’hui quelques éléments de décoration
intérieure, notamment le plafond peint du cabinet de Marie
de la Tour. Les plafonds «à la française» ont été presque
intégralement conservés.La récente restauration a restitué à la grande galerie du 1er étage ses dimensions originelles et
son importance. l’escalier principal doté d’une très
belle balustrade en marbre de Laval. Au sous-sol, une salle abritait l’office et les cuisines qui comportaient trois grandes cheminées.
Actuellement, l’ensemble constitue la magnifique salle du restaurant scolaire.
D’autres aménagements du XVIIe siècle ont été retrouvés et mis en valeur comme par exemple une
cheminée du RDC peinte en trompe-l’œil.
Par des artifices de terrasses pratiquement invisibles, on a
voulu accentuer la hauteur des combles sur la façade est
(sur le Thouet) tandis que sur la cour d’honneur, les toits
paraissent moins hauts dans le but de faire ressortir le dôme
central.
Surnommé le Château de la Belle au Bois dormant, il a inspiré Charles Perrault pour son célèbre conte. Ce magnifique édifice érigé au Moyen Age se transforme au fil des siècles. L'élégance de son architecture et l'ordonnancement parfait de ses jardins en font un fleuron du patrimoine mondial.
Quelques pièces présentent des mises en scène du conte de la Belle au Bois Dormant ou de scènes de vie d'époque.
Situé dans le parc de la Panaudière, le château de pierres blanches fut construit en 1836 dans le style Renaissance par les barons de Cougny-Prefeln puis agrandie en 1860.
Ancien hôtel qui avait été très bien rénové. nombreuses pièces vides avec tissus tendus, belles cheminées...
Très beau parc
Grande maison bourgeoise
Maison du XVII° avec un chais datant du XIX°. 350m2 sur 3 niveaux. pas d'autorisation pour filmer l'étage
13 ha / un ancien pressoir transformé en salle de musique / une piscine
Ancien fief seigneurial depuis le XII° siècle, le château a ensuite connu diverses transformations au fil des siècles. L'histoire viticole du château remonte à près de 250 ans: le premier Ban des vendanges retrouvé date de 1787...